Des early adopters à la masse
Dans le cadre de mon service civil suisse, je suis amené à donner des cours de français, math et bureautique à des requérants d’asile non-francophones, une expérience humaine enrichissante et dépaysante.
Loin de mon cadre universitaire habituel et du monde des start-ups, j’ai l’occasion de rencontrer des personnes non-technophiles (sans aucunes connotations négative de ma part), mes collègues et certains migrants, pour qui l’utilisation du web (mail, news, réseaux sociaux, Google) est entrée dans leur quotidien, la plus part possédant même un smartphone. Cependant, je me retrouve fréquemment à leurs donner des conseils sur comment certains outils basiques pourraient fortement améliorer leur quotidien.
Par exemple, la combinaison de Google doc, bit.ly, Dropbox et Classmarker (SaS pour créer des petits tests en ligne) a simplifié grandement les séances de cours de français sur ordinateur.